Nous entendons souvent : « Oh lalala, je voudrais bien participer au SORR mais je n’ai pas le temps / c’est compliqué …. »
Et bien, sachez que participer au SORR, dans le Conseil d’Administration ou pendant les Assemblées Générales, c’est d’abord :
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- être acteur des changements et ne plus avoir l’impression de les subir (qui ne s’est jamais trouvé dans ces situations : râler seul, derrière son ordinateur ou devant un café avec des collègues sans action effective par la suite)
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- être au cœur de l’action et pouvoir agir pour défendre notre profession
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- mieux comprendre les tenants et les aboutissants de certains projets, de certaines décisions politiques …
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- profiter des effets positifs de l’émulation : plusieurs cerveaux valent mieux qu’un !
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- s’engager en fonction du temps que l’on peut y consacrer.
Contrairement à l’image véhiculée sur les réseaux sociaux :
- les relations au sein du Conseil d’Administration sont bienveillantes et constructives,
- nous ne donnons que le temps que nous sommes capables de donner : nous nous entraidons dans les missions et nous nous organisons en fonction
Participer au SORR, c’est aussi du partage :
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- participer de près ou de loin à l’évolution du métier d’orthophoniste
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- rencontrer des collègues et partager ses opinions/avis, ses expériences, ses ressentis … et s’apercevoir que d’autres pensent la même chose (ou pas)
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- faire partie de réseaux (professionnel et interprofessionnel)
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- participer de près ou de loin à de beaux projets comme un bébé, un livre – la journée des dys …
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- partager des convictions éthiques et déontologiques dans un quotidien qui nous pousserait, souvent/parfois à adopter des « petits arrangements » qui nous simplifieraient, certes, le quotidien et nous permettraient d’aller plus vite mais qui seraient limite au niveau légal